Choisir sa joie, choisir ce qui nous rend joyeux, uniquement, et marcher ainsi dans nos décisions, c'est certainement le résultat simple et puissant de notre merveilleux pouvoir créateur.

Chaque création est complète et totale dans l'instant, mais on va dire que l'habitude de regarder autre part peut encore être présente, et créer en conséquence, des réalités qui vous mettent moins en joie.

Reconnaître qui on est et où on marche a un impact très puissant sur la totalité. En fait, tout le monde a un impact sur la totalité, parce que tout le monde est la totalité, individuée. Ainsi, à chaque pensée émise ou validée, le monde qui en découle est communiqué à la totalité. C'est une sorte d'invitation ou de signature vibratoire qui est faite à tous.

Pour en savoir plus et découvrir le personnage: son site web... Un choix de vidéos à découvrir ici.

L'être est fondamentalement JOIE en son corps et en son coeur; s'il fait silence, il peut voir comment la création se fait à l'extérieur. Chaque création dit QUI ON EST. Il faut le reconnaître pour ensuite créer à neuf, choisir surtout ce qui se manifeste. La VIE est l'amour s'aimant lui-même, ce qui permet à là forme d'exister, par le corps d'être joie, amour, connaissance, harmonie, etc. Notre choix est cause et conséquence de tout, y compris de la santé ou de la maladie, un passage de la non-forme à la forme, de l'inconnu au connu, donc un PROCESSUS créatif continu, toujours déjà accompli, le résultat de ce que nous choisissons de croire.

Il faut donc apprendre à voir ce que nous croyons!!!!

Tout ce que nous pouvons communiquer, c'est qui on est. Et qui on est est notre choix. Ainsi, on a toujours communiqué nos choix et rien d'autre. Qui je suis, la réalité dans laquelle je vis, mes règles, etc... tout cela sont mes choix. Je ne peux pas ne pas les communiquer. Nous sommes ici parce que c'est notre choix d'exprimer ce que nous choisissons d'exprimer, ou d'être, dans la forme.

On est créateur par son corps. On a reconnu que son corps, c'est la connaissance, c'est la vibration, c'est le pur choix d'être ici et d'exprimer sa joie, à travers ses idées préférées.

Reconnaître les choix que nous faisons aujourd'hui, les mondes que nous manifestons et qui nous sommes dans ceux-ci fait place instantanément à de nouvelles réalités et à nos nouvelles règles.

Reconnaître, c'est créer. A neuf.

A chaque opinion ou idée émise et validée (ou choisie), on télécharge le monde qui vient avec ou qui véhicule ces idées et opinions. A chaque instant, nous avons toujours le choix entre une infinité d'idées et d'opinions, qui vont manifester à leur tour des mondes. Il n'y a rien d'anodin.

Tout ce qui est choisi se manifeste.

Alors, le temps se ralentit naturellement. En fait, on vit depuis une sorte de ralenti intérieur... depuis lequel voir est naturel, reconnaître ses choix et les ajuster se fait sans effort, et tout en marchant. Paradoxalement, l'extérieur est en incroyable ébullition. On est comme dans l'oeil du cyclone. Calme dedans et l'extérieur saute de joie et de créations, partout. C'est plus le mode de vie du créateur.

Les lignes, pour nous, sont des idées principales ou directrices. Elles sont des routes, des options, des "lignes de vie".

On connaît déjà le résultat. On sait comment on se sentira si on prend cette route-là ou cette route-ci. Et comme notre choix est celui de la joie, on se dirige naturellement vers les routes plus joyeuses. Pour information, la joie, telle que nous la choisissons, est aussi la route la plus fonctionnelle, productive, créatrice. Si c'était joyeux pour nous de choisir l'effort, certaines options se seraient présentées plutôt que d'autres. Il n'y a pas de bien ou de mal. Nulle part. Juste des choix de possibilités et les fruits de ces explorations, qui sont des ressentis, des sentiments, des vibrations.

Maintenant parlons des tunnels qui sont similaires aux lignes mais plus proches de nous, de notre quotidien, de notre manifestation.

Il y a toujours d'autres options plus joyeuses.

Vivre dans un monde où tous sont créateurs.

Vivre dans un monde où nombreux sont ceux qui ont reconnu l'appel:

- d'embrasser joyeusement leur propre création

- de créer un monde dans lequel on a vraiment envie de vivre, plutôt que de subir le monde qui est proposé, comme option unique.

Voilà par exemple des idées qui, selon nous, valent la peine d'être créées. Nous ressentons que vivre dans un tel monde est joyeux, naturel, et correspond certainement aux idées que nos corps souhaitent véhiculer.

Il y a beaucoup d’idées ou de pensées que nous validons dans une journée. Et c’est comme ça que les mondes sont maintenus, créés. En fait, les réalités meurent et naissent à chaque instant. Donc rien n’est vraiment maintenu , linéairement, mais valider à nouveau la même idée créera à neuf un monde similaire à celui qui vient de mourir.

C’est aussi pour cela que dès qu’on choisit de ne plus valider une réalité, celle-ci est immédiatement remplacée par une nouvelle. Il n’y a pas de délai. Mais si la pensée “j’ai beau changer d’idées ça ne fait rien” est crue, un monde qui véhicule cette règle sera manifeste. Un monde de délai justement, tourné vers l’importance des preuves, pour valider son pouvoir ou sa valeur...

Tout comme le reste de l'univers et de la matière, tout meurt et nait à neuf à chaque instant. C'est la condition-même de l'émergence.

Garder son passé, en revanche, et garder le même moi pour le faire évoluer, est une création, un choix, qui demande un gros effort. Pour vivre cette continuité, il faut créer et recréer cette histoire en permanence. Il faut se raconter tous les matins qu'on est le même qu'hier. Et cela permet à cette création d'exister. Cela crée une nouvelle réalité qui doit ressembler coûte que coûte à celle qui vient de passer.

C'est la même chose avec le processus de guérison. En réalité, il n'existe pas. En ayant écarté ce processus, on a vu qu'en fait guéri et malade sont deux états différents et complets en eux-mêmes. Ils ne sont pas reliés. Ils existent dans deux mondes différents. Le "guéri" n'a pas eu pour passé "malade".

La vie est l’amour s’aimant lui-même, dans une éclosion toujours plus libre et harmonieuse de son expression que nous sommes. C'est l'immédiateté du déjà accompli.

En osant la joie dans son quotidien, on peut voir et ne plus choisir plus facilement les pensées, les croyances qui forment cette résistance.

Qu'est-ce que le "non-temps" ?

C’est le Lieu en soi qui est non seulement hors du temps, mais qui est activement le mariage entre le temps et le hors du temps.

C’est un endroit de pure création.

C’est là où nous nous trouvons en fait, là où nous choisissons notre quotidien à chaque instant.

Ce n'est pas un endroit géographique. C'est ce que nous sommes.

C'est un processus.

C’est dans ce non-temps que nos corps s’expriment le plus naturellement possible.

C’est ici que les idées fausses sont vues et lâchées facilement.

C'est là que la pensée est inspiration, et son acte prise de conscience.

C'est aussi depuis cet espace que le délai entre la cause et l'effet, l'esprit et le monde, n'est plus.

Le non-temps, c'est une respiration, une géométrie, celle de notre évidence.

C'est le déjà-accompli. C'est la vibration qui sait qu'à peine une question posée, sa réponse est déjà là, jaillissant avant même la fin de la question.

Et c'est une grande joie.

Nous sommes, au mieux que les mots peuvent le décrire, un processus de création.

Une mise en forme du sans forme. Un passage entre l'Inconnu et le Connu. Et ce passage n'est pas statique, comme une sorte de conduit à travers lequel ces deux états coexistent. Ce passage est le processus par lequel ce qui n'est pas visible le devient. Par lequel ce qui est Inconnu devient connu.

L'être que nous sommes est un être d'expression, un être qui a pour raison d'être l’expression de ce qui n'est pas formé... dans la forme.

Ce qui signifie que sans nous, il n'y a pas d'existence formée.

Nous sommes ce qui permet à la forme d'exister.

Et pour quel but?

Pour rendre ce qui est inconnu connu.

Parallèlement, ce qui est inconnu ne l'est pas. Nous connaissons intrinsèquement cet Inconnu, il est notre Cœur, notre Vie... notre Origine. Ceci est inconnaissable dans son essence, mais est le tissu-même de nos êtres.

(Quand nous permettons à ceci de nous pénétrer, sans chercher à le comprendre, cela circule librement en nous et vient juste raviver quelques circuits qui étaient un peu endormis jusque là. Pour certains, ceci n'est qu'évidence. Pour tous, ceci est évidence, plus ou moins reconnue en tant que telle.)

Donc, cet Inconnu que nous connaissons est comme l'immensité de tous les potentiels qui ne demandent qu'à se manifester. Par nous. Par nos choix. Par notre Pensée. Par nos sentiments. Par notre désir. C'est comme ça que nous sommes faits.

Nous sommes un But à l’œuvre.

Le but de l'Inconnu de Se Connaître Lui-même.

Et chaque facette de ce diamant a et est le libre choix d'étendre sa création comme elle le désire.

Nous sommes chacun et chacune une facette singulière de ce même Diamant

Le corps est tout.

Le corps se révèle donc être la clé de voûte de la création. Il est joie, amour, et connaissance. Il est la création, et aussi le créateur... les vibrations pures de création.

L'expérience d'avoir perdu l'amour, d'avoir oublié ce qu'on sait, ou encore d'avoir perdu sa joie, revient à avoir perdu son propre corps.

Et personne n'a en réalité perdu son corps. Personne n'a en réalité perdu quoi que ce soit.

Le choix de vivre autrement que par son naturel joyeux et puissant peut donc être mis de côté, sans délai.

Notre choix est la cause de tout. Tout le reste est conséquence.

Nous sommes vécus par nos décisions

Quand tout est vu comme une possibilité, un possible parmi tant d'autres, alors nous ne sommes plus les mêmes. Nous ne sommes plus des personnes sur un chemin de réalisation de soi.

Au contraire, nous reconnaissons qu'être sur un chemin est une idée, un possible que nous avons validé ou choisi. S'il ne nous met pas en joie, on peut aussi facilement le dé-choisir, lui dire non, et abandonner ainsi le monde et l'identité qui viennent avec cette création.

Nous devenons donc les créateurs de nos réalités. (Nous le reconnaissons, car nous l'avons toujours été)

L'ancien conseil d'accepter son expérience plutôt que de la juger est aujourd'hui amélioré par la reconnaissance que cette expérience n'est pas une vérité en soi; elle est un possible parmi tant d'autres.

Alors il devient évident que nous n'allons accepter , ou ne dire oui, qu'aux possibles qui nous mettent en joie.