L'essence de la Vie, sa loi intrinsèque tend vers toujours plus de complexité, de coopération, de conscience, d'amour comme traitement de l'agressivité et de l'égocentrisme. Sortie impérative du mortifère, de cette tristesse-colère-dépit-injustice-convoitise-rivalité qui fait notre malheur. La Vie est accueil, gratitude et émerveillement en complicité avec la Source et notre Conscience universelle.

 

Nous suivrons pour y répondre l'approche de la Science Unifiée de Nassim Haramein.

 

Ainsi, nous apparaissons et nous disparaissons sans arrêt à un rythme très rapide et à la vitesse de la lumière. La moitié du temps, nous sommes issus du vide...et l'autre, nous informons le vide. C'est aussi le mouvement de la conscience qui nous informe par rétroaction que nous existons. C'est la structure du double tore qui le permet. C'est un échange permanent d'informations qui nous affecte, du dedans vers l’extérieur et de l’extérieur vers le dedans: nous co-créons en permanence la réalité.

La création est continue à tous les niveaux de la singularité ; quand la double tore et l'effet Coriolis s'équilibrent vers la singularité, alors le trou noir produit de la matière, les galaxies, et cela tout le temps. Le trou noir devrait s'écrire TOUT parce qu'il est la structure fondamentale du vide. Il n'absorbe pas seulement, il diffuse aussi de l'information, ce sont des trous noirs/blancs comme le ying et le yang. Les structures du vide et les fluctuations qui s'y déroulent sont à l'origine de tout et nous sommes en constantes relations.

Apparaître hors du vide et disparaître en lui est comme une respiration : cela se fait même si nous n'en avons pas conscience. Cela se fait indépendamment de nos croyances et convictions intimes. Ainsi, les cellules de notre corps y puisent le 70% de leurs besoins.

C'est par elle que des "miracles" s'accomplissent: des guérisons spontanées, les sorties de corps, les expériences de mort imminente, les intuitions, inspirations, prémonitions, heureux hasards, coïncidences ou synchronicités. On peut lui attribuer le pouvoir des guérisseurs ou celui de devins, la télépathie ou la télékinésie.

C’est l’Amour divin ou inconditionnel qui est le facteur primordial permettant au Mer-ka-ba de devenir un champ de lumière vivant.

Aussi nous explorons des manières particulières d’ouvrir le coeur pour réveiller la compassion, l’amour inconditionnel, et l’harmonie interne, pour faire ainsi l’expérience directe de l’Amour Divin tout en activant notre Mer-ka-ba. Nous rejoignons ici l'approche de Nassim Haramein: chacun-e  est le divin faisant l'expérience de la vie: amour, sagesse et force. Il ne lui reste qu’à les extérioriser selon son génie individuel au fil d’un processus d’évolution divine qui est garanti pour l’éternité.

La Sagesse, l'Amour, la Force se déclinent comme Réconciliation, Union et Résurrection, comme Père, Fils et St-Esprit, destiné, sens et vérité. Elles transcendent l'instinct, le Moi ou le Soi. À travers elles, nous permettons à Conscience cosmique (notre âme), logée dans notre coeur,  de mieux conduire notre char de feu en nous apportant  aide et conseils par feedback; elle transcende l'entité corps-esprit; elle est de manière métaphorique ce vaisseau, ce char de feu indépendant et puissant connectée en permanence à la mémoire de l'espace-temps par intrication, toujours dans une Résonance harmonieuse avec le TOUT.

Précisons que nous pouvons fort bien recréer ou réactiver notre corps de lumière sans cette connaissance. Nous pouvons le raviver avec seulement de l’amour et de la foi, et pour certaines personnes c’est même le meilleur moyen. Cette émotion, ce sentiment d’amour pour toute vie est absolument nécessaire, car c’est la vie même du Mer-Ka-Ba. Le Mer-Ka-Ba est vivant et conscient ! ce n’est pas quelque chose qui est moins que nous, et nous sommes nous-mêmes vivants et conscients. Le Mer-Ka-Ba n’est pas séparé de nous ; l’énergie de la force de vie, au prâna, au chi, de rayonner en nous, à travers nous et tout autour de nous, car c’est cela qui vient de Dieu et retourne à Dieu. C’est notre parenté, notre lien intime avec Dieu. C’est ce qui fait que Dieu et nous ne faisons qu’un. Quant à la connaissance, la foi, c’est l’autre moitié de l’équation. Quand l’amour et la connaissance s’unissent, le Christ apparaît, et il n’y a aucune exception à cela.

Extrait de l’Ancien secret de la Fleur de Vie – Tome 2 – de Drunvalo Melchizédek

 

Unir la connaissance et la foi se fait en ajustant certains paramètres comme dans l'image des anges et des démons, ceci pour re-susciter une sérénité lucide ou une lucidité sereine et vivre du mieux possible dans l'accueil de la Vie. Nous aspirons à rejoindre la quiétude au cœur de notre singularité individuelle, et de susciter avec elle la dynamique du spin qui nous offre en retour de possibles intuitions, inspirations, prémonitions, heureux hasards, coïncidences et autres synchronicités. Nous voulons laisser venir toute chose si possible dans cette vie bénéfique à tous, dans l'harmonie et la fraternité agissante. Et nous savons devoir pour y arriver nous dégager librement du mortifère, des besoins-délires humains de puissance, de jouissance, de richesse et de gloire arrachés - ou imposés - au monde et aux autres. Il s'agit au contraire de laisser venir cette plénitude qui recherche, encore et toujours, ce qui est bien, bon, beau, juste, indispensable, utile, nécessaire ou agréable notamment. Elle ne s'imposera pas, cette plénitude, elle se donnera à vivre; elle sera joie anticipée, humble réjouissance; juste relation à toute chose, distance respectueuse parfois même quand tout oppose. 

Mais aussi opposition ferme, revendication d'humanité ou d'humilité, refus de toute oppression, exigence d'une vie bonne pour tous, et qu'il soit bon d'être né! Éloignement et tenue à distance de ce qui se joue dans la banalité quotidienne: l'usage de la ruse, de la force, du mensonge, de la manipulation, du chantage affectif et de la mystification pour obtenir satisfaction. Cela n'aide pas à équilibrer nos corps émotionnel, mental et spirituel : au contraire, cela les déséquilibre nous en écarte, nous fait vibrer dans des fréquences néfastes, passer à côté du but, là précisément où nous ne captons rien, où l'échange avec la singularité se fait mal.

Baisse du niveau vibratoire et ses conséquences:

Mais les baisses de niveau vibratoire sont aussi de plus en plus fréquentes et trouvent leur origine dans un mode de vie de plus en plus déséquilibré et en rupture avec l'évolution de la planète. Les causes sont multiples et concomitantes : alimentation industrielle, champs électromagnétiques artificiels, drogue, pensées négative, qualité de l'air, stress, tabac,...

Actuellement, lorsque le taux vibratoire d'un humain franchit le seuil des 6000 UB et continue de descendre, l'être humain concerné commence à être affecté par les basses vibrations avec lesquelles il entre en syntonie et des dysfonctionnements physiques (maladies) peuvent se développer car son terrain y devient favorable. Plus son taux vibratoire descendra, plus il deviendra vulnérable aux maladies et autres dysfonctionnements du corps physique.

Ecouter ce qui vibre en soi, à travers nos pensées -sentiments- convictions intimes -émotions -sensations, est donc primordial. Tout comme il conviendra de se dégager des boucles de frustrations - ressentiments - colères - dépits - tristesses - abattements - angoisses, etc. Ces affects occasionnent une baisse du niveau vibratoire.

Nous savons ce qu'il faut écouter et susciter: les états affectifs plaisants. La VIE nous y invite.

 

Ecouter ce qui vibre en soi, à travers nos pensées -sentiments- convictions intimes -émotions -sensations, est donc primordial. Tout comme il conviendra de se dégager des boucles de frustrations - ressentiments - colères - dépits - tristesses - abattements - angoisses, etc. Ces affects occasionnent une baisse du niveau vibratoire. Préférer la sérénité du coeur, les états plaisants aux états déplaisants et se risquer ainsi humblement du côté d'une juste relation à tout et tous.

 

Comme l'écrivait si bien Maurice Bellet, notre quête " devient faim, quête de parole, écoute de ce qui se trame en l’instant et en soi-même. Une faim de ce qui fait notre irrésistible grandeur humaine, sans illusion, sans l’illusion de croire que nous sommes sans illusion ! Marcheurs en la ténèbre cherchant la lumière qui osent dire ce qui lui vient, sans savoir jusqu’où ça va. ça parle : personne n’est exclu, nul n’est pris ou confisqué, vomi ou dévoré ; plus rien n’exige la destruction ; on se tient dans le dénuement, dans le don d’une présence qui nous précède.

     Ce qui m'en reste — en ce moment-ci —, c'est une disposition pure. Une pure disposition d'écoute, c'est-à-dire (le présence, d'être là-près-de, sans rien revendiquer ni prétendre ; sans prétention de parole ni d'écoute. Une disposition à être, tel que je suis pour qui-est-là, témoignage qu'il n'est pas seul, qu'il est humain parmi les humains, « un parmi d'autres », qu'il peut réellement être là, sans jugement à subir, sans rien à fournir, dans une gratuité parfaite. Voilà la seule parole que je puis dire avec ou sans mots (et par des mots peut-être tout banals d'apparence) ; l'humble résonance que je puis donner à cette parole première qui ouvre l'humanité de l'homme ; une sorte d'amour tellement humble qu'il ne vient pas à l'idée de le nommer amour.

     Et sans prétention à cela même!

Et à cette disposition pure, il n'y aura rien à ajouter — rien. Je ne puis que purifier cette disposition, car elle est en moi fortement impure (p.101). Le grand silence défait les murailles de la sagesse, de la morale, des traditions ou de la pulsion que ne contrôle plus la raison, il brise ce qui protégeait de la violence." (In Le meurtre de la parole ou l’épreuve du dialogue - Bayard 2006)

 

Ecouter ce qui vibre en soi, à travers nos pensées -sentiments- convictions intimes -émotions -sensations, est donc primordial. Tout comme il conviendra de se dégager des boucles de frustrations - ressentiments - colères - dépits - tristesses - abattements - angoisses, etc. Ces affects occasionnent une baisse du niveau vibratoire. Préférer la sérénité du coeur, les états plaisants aux états déplaisants et se risquer ainsi humblement du côté d'une juste relation à tout et tous. Marcheur en la ténèbre cherchant la lumière sans jugement à subir, ni rien à fournir, dans une gratuité bénie. En cette disposition pure, il n'y a rien à ajouter. Elle est le but et le chemin, la vérité et la VIE. Purification nécessaire par le grand silence qui défait les murailles de la sagesse, de la morale, des traditions ou de nos côtés sombres. Consentir à l'équilibre vibratoire.

 

Tout est vibration et tout vibre constamment, même quand nous dormons. Ainsi, la fréquence vibratoire dominante de notre corps est déterminée par l'état vibratoire auquel on se connecte le plus souvent. Quelqu'un qui est en grande souffrance porte tout de même en lui la Joie. Seulement, il ne s'y branche pas et n'allume jamais l'interrupteur de la Joie qu'il porte pourtant en lui. Il a fini par oublier qu'elle faisait partie de lui. L'homme contient une quantité astronomique d'états vibratoires qu'il n'utilise presque jamais. Cette palette vibratoire mise à sa disposition peut mettre du temps à être réactivée car à force de ne pas être cultivée, elle peut finir par rouiller. Il faut entretenir notre palette d'états vibratoires si nous voulons y avoir accès selon notre volonté. Savoir utiliser cette palette vibratoire peut nous permettre de changer notre fréquence dominante. C'est ainsi qu'on parvient à se transmuter et à se métamorphiser.

Pour nous métamorphiser, il nous suffit de raviver les états vibratoires lumineux gisant en nous et qui peuvent parfois paraître morts (ils peuvent paraître inexistants et absents de notre vie, ce qui ne signifie pas qu'ils ne font pas partie de nous). Ils ne demandent qu'à être allumés. Cela peut prendre du temps si on ne les a pas utilisés depuis très longtemps.

Si l’on se branche sur la fréquence de l’amour à sa plus haute intensité, on peut changer l’état vibratoire principal de notre corps physique et le faire vibrer à la même fréquence que celle de l’Amour Divin. Cela est la même chose pour les vibrations à pâle nuance. L’argent est une vibration. On peut faire vibrer son corps à la vibration de l’argent. La colère, l'envie ou le détachement sont des fréquences auxquelles on se branche dès que l'on les ressent en nous, que ce soit consciemment ou inconsciemment. En effet, chaque action, pensée ou parole nous branche à une fréquence. Plus on se branche fréquemment à une même fréquence, plus elle influence nos corps vibratoires et nous fait vibrer à cette fréquence répétitive. Plus on se branche à une fréquence, plus nos corps seront influencés par cette fréquence. En se contrôlant, on peut par conséquent décider de se brancher à n'importe quelle vibration et changer notre état vibratoire, au lieu de le subir.

Autre précision importante: quand notre corps physique meurt, on ne cesse pas de vibrer pour autant. Notre esprit, en quittant le corps physique, passe simplement d’un état vibratoire à un autre, d'une fréquence à une autre. Sans jamais cesser de vibrer car notre Esprit est éternel et ne peut pas mourir. L'inexistence, et donc la mort, n'existe pas car on ne peut pas ne pas être. Seuls différents plans d'existence existent.

Voici les fréquences à privilégier:

Au centre des triangles : 528 Hz est considérée comme la vibration de l’amour universel. Elle est utilisée par les biochimistes en génétique pour réparer et reprogrammer l’ADN déstructuré. Elle a même permis de dépolluer une partie du Golfe du Mexique.

396 Hz c'est la fréquence qui vous libère des peurs et de la culpabilité.

639 Hz c'est la fréquence qui influence l'équilibre relationnel et la tranquillité . L’unification avec le tout et les connexions neuronales.

963 Hz c'est la fréquence qui nettoie la glande pinéale.

417 Hz c'est la fréquence vous aide à contrôler vos émotions. Cette fréquence nettoierait des expériences traumatisantes et dégagerait les influences destructives d'événements passés.

147 Hz rehausse la concentration et le processus de prise de conscience, est considéré comme un régulateur.
174 Hz
c'est la fréquence de base pour stabiliser votre évolution et réduire la douleur physique. C’est la sécurité et la sérénité.

852 Hz est l’éveil de l’intuition et le retour à l’ordre spirituel, Amour inconditionnel.

285 Hz c'est la fréquence qui permet d’accélérer la conscience. Avec elle vous pouvez accéder à la vérité et la sagesse.

Ces fréquences peuvent s'écouter sur YouTube (suivre ce lien).

 

Le champ est composé d’une INFINITE d’échelles (de taille) ; ces échelles sont en résonance fractales et harmoniques. C’est à dire que l’échelle de Planck, puis des protons, puis de nos cellules, du corps, planètes, galaxies, etc. doivent être en résonance harmoniques; l’état d’harmonie ou de disharmonie (résonance harmonique ou non) entre deux types de corps de ce champ (deux échelles ou deux corps de la même échelle) peut être bénéfique ou négatif. L’harmonie/ l’équilibre d’un corps humain (avec ses milliards de cellules et ses milliards d’atomes) est à la fois naturel et fragile, le déséquilibre pouvant provoquer un dysfonctionnement d’un certain type de corps comme les cellules. La communication entre cellules par exemple est extrêmement importante pour entretenir cet équilibre. Ca peut être une anomalie de conscience (croyance fausse) qui déséquilibre l’équilibre chimique-cellulaire de notre biologie. Notre corps, tel un oscillateur biocristal, agit comme un circuit électrocinétique (RLC) analogue à un receveur radio réglé dynamiquement par les biomécanismes.

le comportement naturel, l’interaction et l’organisation des biomolécules pourraient très bien se réaliser à travers un réseau d’information non local – le système de trous de ver de l’espace-mémoire quantifié.

De plus, par sa définition même, l’espace-mémoire est le résultat de l’impression d’information dans la structure quantique de l’espace, d’où l’émergence d’une mémoire.

De cette façon, le champ à la base de notre univers, d’où tout provient et où tout retourne, est un réservoir d’information. On peut ainsi concevoir, à travers les processus physiques naturels, comment la conscience (et la conscience de soi en particulier) s’étend au-delà du corps – à travers l’espace et le temps. L’extension par le temps est hautement pertinente, car cela signifierait qu’il existe un mécanisme physique par lequel la conscience de soi unique à chaque individu pourrait exister et survivre au-delà de la dissolution du corps.

La matière, qui constitue les systèmes vivants, serait dotée d’un réseau de communication quantique sous-jacent au niveau subatomique. Ceci signifie que les structures et polymères macromoléculaires complexes fortement uniques des systèmes vivants (comme la membrane cellulaire, l’ADN et les microtubules) seraient en interaction directe avec l’espace mémoire-temps unifié dans une boucle continue de rétroaction et d’anticipation, orchestrant les activités complexes et subtiles de la cellule et de l’organisme dans son ensemble.

Par ailleurs, l’architecture fractale du cerveau (et du corps en général), depuis les domaines fractals moléculaires au sein de chaque neurone et cellule jusqu’à la très alambiquée topologie de la surface des méninges (un réseau de plusieurs couches de membranes cellulaires recouvrant le cerveau et qui est fortement replié, comme la géométrie fractale d’une ligne côtière), fonctionne tels des récepteurs et transmetteurs (comme des antennes), où le réseau de micros trous de ver du vide quantique du champ d’ espace-mémoire constitue les canaux de communication, et les biomolécules, les cellules, et les tissus constituent, eux, les nœuds – recevant, intégrant, traitant et transmettant l’information. Ainsi, la conscience n’est pas produite par le cerveau lui-même (il joue clairement un rôle dans les processus de notre conscience physique), celui-ci agit plutôt comme un récepteur/ transmetteur, (comme les voix entendues à la radio ne viennent pas de personnes à l’intérieur du poste, mais de la réception par l’appareil d’ondes électromagnétiques invisibles encodant l’information). Source: RSF.

 

 

La rotation du spin est à l'origine du tout et c'est le radiant de densité de l'espace-temps qui en est la cause. Une oscillation peut se voir comme une spirale coupée en 2D; le mouvement est une  spirale; une intention peut-elle en être une origine? Notre cerveau est capable d'inscrire une information dans l'espace-temps; il a la capacité d'inscrire et de trouver l'information.

La maladie, notamment le cancer, montre une perte d'harmonie avec l'ensemble de l'information; ce sont des cellules qui fonctionnent de manière autonome; il y a une communication sans fil entre les cellules avec des fréquences fractales multiples en fonction des cellules ou des organes. Il y a à chaque niveau des géométries précises…qui serait dans le corps liées à l'eau. Mais le corps doit maintenir un bon PH du sang dont dépend notre santé: il doit être basique et non acide! Du coup le sel y contribue s'il est naturel, marin et non raffiné.

Ecouter ce qui vibre en soi, à travers nos pensées -sentiments- convictions intimes -émotions -sensations, est donc primordial. Tout comme il conviendra de se dégager des boucles de frustrations - ressentiments - colères - dépits - tristesses - abattements - angoisses, etc. Ces affects occasionnent une baisse du niveau vibratoire. Préférer la sérénité du coeur, les états plaisants aux états déplaisants et se risquer ainsi humblement du côté d'une juste relation à tout et tous. Marcheur en la ténèbre cherchant la lumière sans jugement à subir, ni rien à fournir, dans une gratuité bénie. Cette disposition pure est le but et le chemin, la vérité et la VIE. Purification nécessaire par le grand silence qui défait les murailles de la sagesse, de la morale, des traditions ou de nos côtés sombres. Un équilibre vibratoire mais aussi un équilibre physique: bien boire de l'eau purifiée, pour veiller au bon PH du sang, bien respirer et bien expirer.

 

Les champs morphiques sont connus de la physique, ce sont des régions d'influences non matérielles s'étendant dans l'espace et se prolongeant dans le temps. Les champs morphiques ne disparaissent pas : ce sont des schèmes d'influence organisateurs potentiels, susceptibles de se manifester à nouveau, en d'autres temps, et d'autres lieux, partout où et à chaque fois que les conditions physiques sont appropriées. Ils sont la mémoire de l'espère, l'induction d'organisation, ou encore l'apprentissage collectif.

On peut comparer le champ morphogénique d’une part à un gigantesque réservoir de la mémoire de l’espèce, c’est sa fonction passive, d’autre part à un inducteur d’organisation, c’est sa fonction active ou téléologique. Et cet inducteur d’organisation fonctionne de mieux en mieux grâce à l’apprentissage des membres de l’espèce.

Il semblerait logique et naturel de supposer que pour changer le monde, il faille que l’immense majorité de la population du globe y consente. Mais c’est une erreur. Aussi bien les études menées autour de l’effet Maharishi que les observations ayant permis de vérifier la théorie du champ morphique sont là pour nous le rappeler. En vérité, ce qui est important, c’est que la nécessité d’un changement fasse l’objet d’une prise de conscience d’un nombre suffisant de personnes.

Ecouter ce qui vibre en soi, à travers nos pensées -sentiments- convictions intimes -émotions -sensations, est donc primordial. Tout comme il conviendra de se dégager des boucles de frustrations - ressentiments - colères - dépits - tristesses - abattements - angoisses, etc. Ces affects occasionnent une baisse du niveau vibratoire. Préférer la sérénité du coeur, les états plaisants aux états déplaisants et se risquer ainsi humblement du côté d'une juste relation à tout et tous. Marcheur en la ténèbre cherchant la lumière sans jugement à subir, ni rien à fournir, dans une gratuité bénie. Cette disposition pure est le but et le chemin, la vérité et la VIE. Purification nécessaire par le grand silence qui défait les murailles de la sagesse, de la morale, des traditions ou de nos côtés sombres. Un équilibre vibratoire à trouver mais aussi un équilibre physique: bien boire de l'eau purifiée, pour veiller au bon PH du sang, bien respirer et bien expirer. Visualiser et déposer dans la structure de l'espace-temps les changements qui seraient bons pour l'humanité.

  • " La joie, c'est de retrouver la cohérence de tout notre être, l'unité - même passagère - autour du noyau de notre désir. Et ce désir est une évolution de toute notre personne qui cherche la joie dans la paix de tout l'être et non pas la satisfaction d'un plaisir partiel.
  • " Rayonner sans être appauvri, c'est le don juste dont sont capables seulement les êtres qui ont le cœur libre et ouvert."
  • " L'identité s'affirme par l'abandon du miroir magique des identifications stérilisantes à la vie et au désir des autres. En Jésus, le miroir n'est pas aboli mais il nous révèle un au-delà au royaume de ce monde, celui de la vérité qui dépasse les conditionnements de sexe, d'âge, de race, d'éthique comportementale des échanges ordonnés par la loi

  • Aimer c'est engendrer, susciter, éveiller, réveiller. C'est le contraire d vivre en circuit fermé, de posséder pour soi: richesse, savoir, pouvoir.

    Françoise Dolto)"

 

Apprendre enfin de diverses manières à déborder l'égo: Notre striatum, " ce nain ivre de pouvoir, de sexe, de nourriture, de paresse et d'égo" ne semble pas en mesure d'être muselé par notre cortex, notamment la partie qui gère, modère et planifie nos tentations. Se priver provoque souvent d'ailleurs un effet rebond comme l'atteste les régimes minceurs. Il faudrait oser une autre stratégie à travers la méditation en pleine conscience par exemple qui permet d'être présent à ce que nous faisons, ce qui stimule la production de dopamine, un plaisir  obtenu différemment, un autre moyen de solliciter notre striatum. On peut aussi y lier le plaisir lié à une valorisation sociale...

L’ego a besoin d’un conflit avec quelque chose ou quelqu’un. Cela explique pourquoi on recherche la paix, la joie et l’amour, sans pouvoir les tolérer très longtemps. On prétend vouloir le bonheur, mais on est accroché au malheur.

La vie de la plupart des gens est menée par le désir et la peur. Le désir, c’est le besoin de vous donner quelque chose qui vous permettra d’être davantage vous-même. Toute peur est celle de perdre, donc de subir une diminution, d’être amoindri. Ces deux mouvements occultent le fait que l’Être ne peut ni s’ajouter ni se soustraire. L’Être dans sa plénitude est déjà en vous, maintenant.  Quand on parvient à le réaliser une libération s’opère : plus besoin d’être davantage ! On peut voir ce qui se présente dans le moment présent, ce qu’il contient de beau, de bon, d’utile, de nécessaire ou d’agréable, voir cela aussi dans les autres rencontrés.

Oser abandonner le moi idéalisé : ce tyran intérieur

Dès le plus jeune âge, nous avons subi un endoctrinement parental : être sage était récompensé et devait mener au bonheur, mal se conduire signifiait la punition, les blâmes et le chagrin. Décevoir nos parents voulait dire subir leur déception, leur colère, être privé de leur affection, être puni, grondé ou châtié. Face à cette expérience douloureuse, nous avons donc tous appris à éviter le pire, à cacher, ruser, faire du charme, tricher, mentir, donner le change ou même à voler pour nous en sortir. Nous nous sommes construits tant bien que mal. En réalité, nous dira Françoise Dolto « Les humains ne perçoivent leur existence individuelle que par les entraves, les blessures et les mutilations qu'ils ressentent en leur corps et leur cœur. Ils "se fabriquent" par des émois contrés, quand celui qui les contre est aimé, respecté, désiré. C'est cette expérience, cet affrontement qui, au jour le jour, déterminent leur histoire personnelle. » Cela peut conduire au développement de faux moi : la personne adopte pour se protéger une attitude courtoise, soumise et pleinement adaptée aux normes en place. Elle peut aussi intellectualiser le réel en se coupant des émotions, des affects ou des actes créatifs. Certains faux moi seront introvertis, plutôt secrets ou rêveurs, d’autres seront extravertis et vont privilégier l’affirmation de soi, l’agressivité et la combativité. Nous produirons tous une forme de moi idéalisé. Toutefois, les exigences du moi idéalisé sont impossibles à satisfaire même si nous ne renonçons jamais à y parvenir. Être parfait ou se montrer toujours à la hauteur est impossible. Cela provoque des boucles de frustration, colère, ressentiment, d’anxiété et d’angoisse que nous parvenons à contrer en faisant porter la responsabilité de l’échec au monde extérieur, aux autres, à la vie ou encore à pas de chance. Mais tout cela va se traduire par des sentiments de culpabilité, d’échec, de frustration et de honte qui sont les signes les plus évidents des méfaits du moi idéalisé. Chercher à satisfaire ce tyran intérieur est sans fin et sans véritable épanouissement. Mieux vaut lâcher prise.

L’acceptation de soi

Une volonté sincère de s’améliorer doit nous amener à accepter notre personnalité véritable et non celle que nous avons construite pour répondre aux sollicitations extérieures. Elle ne sera plus sous l’emprise du besoin d’être toujours à la hauteur, d’être parfait ; elle sera dans l’acceptation responsable de ses travers ou de ses faiblesses, ce qui revient à dire « je ne suis pas mon moi idéalisé », sans se défendre, sans chercher des excuses ou accuser les autres. L’enjeu sera de trouver une stabilité.

Rassembler ses esprits

Pour Thierry Tournebise, nos forces font sens dans la stabilité réelle, l’intégration de ce qui est vécu se produit grâce aux ressources internes, passées ou présentes, et grâce aux ressources externes présentes dans notre vie. Les ressources internes sont :  l'énergie physique, un passé relativement heureux, le fait d'avoir été apprécié par ses parents, d'avoir réussi des projets importants, d'avoir été entouré par des amis, etc. 

Les ressources externes sont : essentiellement la qualité de l'environnement humain, mais aussi d'avoir des projets, d'avoir un certain confort de vie... on peut en somme concilier en soi toutes les parties de soi qui nous habitent. Tous ceux que nous avons été fonctionnent alors ensemble, harmonieusement… de concert. On pourrait dire que la personne a ici la capacité de ne pas être éparpillée. Elle a « rassemblé ses esprits » et constitue un ensemble cohérent et stable.

De quoi entraîner une spirale positive : Ainsi la dopamine, qualifiée d'hormone de l'action, intervient dans l'anticipation, la motivation, la projection d'émotions positives et nous pousse à positiver, à avancer. Un bon niveau de dopamine encourage l'activité, trop de dopamine incite à rechercher des situations à risque, mais à l'inverse, un déficit de cette substance (ce qui est une caractéristique de la maladie de Parkinson) trouble les mouvements et rend léthargique.

Autre vaccin anti chagrin : la sérotonine. Ce neurotransmetteur fabriqué dans des neurones du tronc cérébral est indispensable pour réguler nos humeurs. Stimulé par la passion amoureuse, les relations sociales, les pensées positives, les contacts physiques, il agit comme un euphorisant. On observe un déficit important de sérotonine chez les personnes en dépression ou simplement malheureuses parce que séparées d'un être aimé. Citons également les endorphines et enképhalines, bien connues des sportifs sous le nom d'hormones du plaisir. Ces substances produisent un effet euphorique, anxiolytique et antalgique. Elles modulent le message douloureux, inhibent sa transmission dans le cerveau et provoquent une sensation de bien-être immédiat lors de leur réception par les cellules nerveuses. Leurs fluctuations régulent les états de stress et d'anxiété.

 

On peut aussi chercher et trouver des réponses dans les dossiers Akashiques.

Linda Howe Comment Lire Les Dossiers Akashiques
PDF – 96,0 KB 433 téléchargements