« La physique sans la philosophie se perd dans les mathématiques. Il faut avoir un concept fondamental pour écrire les maths qui fonctionnent. Et ça, ça s'appelle la pensée, la philosophie.»
Nassim Haramein

    

Tout est subjectif, tout est relatif et toute vérité est à fonder sur nos raisons de vivre et d'espérer elles aussi forcément subjectives. Ne lisons-nous pas la réalité à travers les filtres d'encodages de nos expériences et de nos souvenirs? Vouloir le nier est du plus haut comique, l'oublier est du plus haut tragique ! Et dans notre lecture de la réalité, nous aurons à définir nos liens à une transcendance: le mot religion de religere peut signifier cueillir, rassembler ou être dérivé de religare qui signifie lier, relier. Y a-t-il une présence, une force, une intelligence, un au-delà à l'humain qui peut être cueilli, peut nous rassembler, auquel nous sommes liés et reliés ?

Pour Ricœur, l’absolu équivaut à l’altérité absolue, à ce qui transcende notre expérience habituelle et nos constructions intellectuelles spontanées. L’absolu n’est pas forcément divin, mais le divin intervient dans l’histoire en tant qu’absolu, en tant qu’altérité radicale. Or l’absolu se présente sous la forme d’un témoignage, dans la mesure où il apparaît non pas comme une présence triomphante et irrécusable mais comme un appel, comme la proposition d’un monde inédit. Il se présente donc de manière strictement non autoritaire. Pour Paul Ricœur, croire, ce n’est pas adopter une attitude de soumission et de fidélité aveugle, mais c’est reconnaître la fiabilité du témoignage dans le cadre d’un examen critique. On reconnaît un vrai témoignage à sa puissance d’innovation et j'ajouterais, à sa puissance de libération !

Ces enjeux seront abordés dans 3 dimensions: l'option athée / de Jésus / de la Science unifiée.

Dans l'option athée, tout est un affairement absurde, désespérant...tout est combat , lutte pour survivre.                                                        

Dans l'option Jésus tout est grâce et dans celle de la Science Unifiée tout est Vibrations/ Information / Energie (VIE)

                      L'être pour la mort                                                                              L'être pour la vie.


L'univers est une machine à combiner les possibles en fonction des lois, du hasard et de coïncidences heureuses. Les humains y sont un accident et doivent tout lui arracher pour survivre jusqu'à ce notre univers disparaisse dans de gigantesques trous noirs.

L'Univers est vivant; esprit, consccience, intelligence suprême.

Il/ Elle est le Tout et l'opposé au chaos.

Une création permanente sans commencement ni fin.

Pour le philosophe Martin Heidegger, l’être-pour-la-mort est notre réalité incontournable ; exister, c'est être constamment impliqué dans un affairement c'est à dire une projection vers le futur. Toutefois, ce mouvement de se projeter n'est pas infini : il rencontre sa limite propre avec la mort. « Possibilité de l'impossibilité », la mort constitue la limite toujours imminente, constamment présente dans tout projet de l'être-au-monde.

Une limite que nous tentons de fuir, de dépasser ou de canaliser sans pouvoir y arriver vraiment, car dans la mort, la réalité humaine n’est pas achevée, ni simplement évanouie, ni moins encore définitivement apprêtée ou complètement disponible comme un ustensile. Elle est l’inconnu et l’inconnaissable. Et pourtant là : “Dès qu’un humain vient à la vie, déjà il est assez vieux pour mourir”. Elle suscite la crainte de ce rien, l’angoisse de ce nulle part. Elle nous fait prendre conscience que l'existence est absurde c’est à dire privée d’un sens évident : rien ne peut être défini comme suffisamment acceptable ! L’humain fuit dès lors cette angoisse tout en voulant l’oublier.

Pour Albert Camus, seule la révolte est ce qui confère à l’humain et à la vie son prix et sa grandeur ; elle vient stimuler son intelligence ou fouetter son orgueil, dans ce face à face avec la réalité qui le dépasse et qui le pousse inlassablement au défi. L’homme absurde ne s’attache pas à la liberté en soi qui n’aurait de sens qu’en rapport avec une croyance en Dieu ; il s’attache strictement à sa liberté d’esprit et d’action, dans la révolte et le défi lucides, en refusant d’être esclave de l’habitude, des préjugés ou des convenances.

« Sentir sa vie, sa révolte, sa liberté, et le plus possible, c'est vivre et le plus possible. Là où la lucidité règne, l'échelle des valeurs devient inutile... Le présent et la succession des présents devant une âme sans cesse consciente, c’est l'idéal de l'homme absurde ». Il s’agit avant tout de multiplier avec passion les expériences lucides tout en acceptant d’en porter les conséquences, au-delà des remords inutiles. À lui de définir les actes qui servent ou desservent l’humanité. Dans le Mythe de Sisyphe, Camus introduit sa philosophie de l'absurde qui veut que la recherche de l'homme soit vaine de sens, d'unité et de clarté, dans un monde inintelligible, dépourvu de Dieu et dépourvu de vérités ou valeurs étemelles. L’humain est sa propre et unique fin.

Pour le philosophe André Comte-Sponville, seul compte la nature « à la fois incréée et créatrice, hasardeuse autant que nécessaire, sans pensée, sans conscience, sans volonté — sans sujet ni fin. Tout ordre la suppose ; aucun ne la contient ni ne l'explique. Nature, sive omnia : la nature, c'est-à-dire tout. » À la question « Que m’est-il permis d’espérer ? », il faut répondre : rien, en tous cas rien d’absolu, rien d’éternel, rien au-delà de la mort. Rien qui ne soit assuré en ce bas monde. Un athée lucide ne peut échapper au désespoir. Pourtant, il convient de rappeler que ce n’est pas l’espérance qui fait agir, c’est la volonté ; ce n’est pas elle non plus qui fait vivre mais l’amour, le courage, la gratitude ou la miséricorde. L’infini est donc hors de notre portée et gardera toujours une part de son mystère. 

Toutefois, pour nombre d'athées (dont Michel Onfray ou Richard Dawson) les religions du Livre (Judaïsme, Christianisme Islam) sont une horrible superstition à combattre - il faudrait même les interdire - car selon la formule de Nietzsche elles crucifient la vie en sanctifiant le néant: elles sacrifient la vie pour un mirage appelé le paradis!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« Ce n’est pas ce qui est spirituel qui vient d’abord, c’est ce qui est animal ; ce qui est spirituel vient ensuite (1Co 15.46) »

La vie se connaît dans le fait de s'éprouver soi-même, dans l'auto-affection et l'auto-donation; elle s'auto-révèle dans le cru de ce qui se montre, la vérité visible de cet en-dehors qu'est le monde. Dans la vérité christique, la révélation est ce qui est révélé, de sorte que pour Michel Henry Dieu est Vie, il est l'essence de la Vie, ou, si l'on préfère, l'essence de la Vie est Dieu.

Dieu est en lui-même révélation, il est la Révélation primordiale qui arrache toute chose au néant, une révélation qui est l'auto-révélation pathétique, c'est-à-dire la souffrance et l'auto-jouissance absolue de la Vie. Comme dit Jean, « Dieu est amour », parce que la Vie s'aime elle-même d'un amour infini et éternel. Nous l'adorons en esprit et en vérité mais comme le disait Pascal c'est le cœur qui sent Dieu et non la raison.

L’impuissance est notre plus grande liberté. C’est elle qui met fin à toute culpabilité, à toute tension, à tout effort et à toute souffrance psychique. Savoir et reconnaître sa totale impuissance c’est reconnaître sa vraie nature qui est joie, liberté, amour et paix.

Ainsi quelque chose nous échappe : le Réel ultime bien sûr, mais aussi la possibilité d’articuler de manière satisfaisante la destinée, le sens et la vérité. Pour le philosophe suisse Pierre-André Stucki, notre quête humaine est illusoire car pour définir LE sens de la vie, il faudrait pouvoir disposer d’une vérité indiscutable, qui réclamerait à son tour un éclairage particuliers de la destinée qui devrait à son tour s’appuyer sur un sens évident de la vie. La destinée, le sens et la vérité sont donc des notions équivoques et dès lors, nos convictions personnelles peuvent seulement être crues, confessées, attestées, vécues, ce qui réclame une tolérance existentielle. Une bonne dose d'humilité et de modestie aussi. Et cet aveu à vivre comme une libération et un défi quoditien:

Le Royaume des cieux ressemble à une personne qui se rend compte qu'elle ne viendra jamais à bout de ce qui pèse - la faute, la culpabilité et le perfectionnisme -, qu'elle n'atteindra jamais une image idéale d'elle-même qu'elle croyait nécessaire pour se rendre acceptable. Elle accueille alors son impuissance radicale; elle s'ouvre ainsi à l'avenir, à la nouveauté. à  l'autre/Autre avec confiance; elle renonce à expier son malheur par une vie de fuite, de devoir ou de mensonge. Ici, la dynamique de guérison est bien une résurrection: laisser venir le courage d'oser être soi-même avec ses ombres et ses lumières en faisant face aux autres. Nous voici libérés de notre passe-temps favori qui consiste à tout idéaliser ou à tout diaboliser, à vomir les autres ou à les dévorer !

En d’autres termes, la puissance de Dieu n’affaiblit pas l’homme mais le rend fort, la sagesse de Dieu ne ridiculise pas la folie humaine mais rend sage celui qui l’accueille, la bonté de Dieu ne condamne pas le pécheur mais le restaure dans la justice. A l’inverse des puissants de ce monde, la présence divine n’écrase pas mais rayonne et transforme à son image celui qui s’expose à une vraie relation avec Elle.

Il convient de voir avec le cœur : Le Coeur est la confiance, l'abandon entier, la tendresse divine, l'union entre les choses dispersées. Il n'est pas au-dessus, il est à l'intérieur. Il nous libère de toutes les soumissions aux forces extérieures, de toutes les dispersions qui ne sont que dans la peur. Il est le seul à savoir où vont nos vies, car il en est le moteur, la semence, il est la source de toutes nos possibilités, l'unificateur.

"L'honnêteté, la sincérité, la simplicité, l'humilité, la générosité, l'absence de vanité, la capacité à servir les autres - qualités à la portée de toutes les âmes sont les véritables fondations de notre vie spirituelle", Nelson Mandela

 

« Tout ce qu’on observe dans l’univers, que ce soit l’énergie d’un système, les relations entre les systèmes, les différentes forces, etc. Toutes ces propriétés ne sont en fait que le résultat des informations circulant dans ce réseau de trous noirs/trous de ver, à toutes les échelles.

Les émotions sont la boussole qui nous permet de faire les bons choix, de prendre les bonnes directions. Les émotions ne devraient pas être ignorées par les scientifiques car elles pourraient jouer un rôle central dans le cheminement qui permettra à la science de retrouver une cohérence capable d'expliqué l'univers connecté tel que nous l'observons.

Notre état émotionnel est très important pour extraire de l'information du vide. Il affecte aussi directement notre corps et nos cellules. » Nassim Haramein

Nous sommes avant tout des antennes reliées à l’information universelle, des antennes fractales et holographiques. L’information, pour provenir jusqu’à nous, doit alors passer par de véritables montagnes russes, des points critiques agencés de manière très complexe donnant une certaine dynamique aux vibrations, que vous pouvez comparer aux géométries sacrées antiques donnant aux Plancks, délivrant ainsi un pan de l’information des mémoires universelles. Le chemin que l’information emploi, les points critiques agencés selon notre capacité et notre habitudes de réflexion, peuvent se réagencer suite à “l’acquisition” de nouvelle information. On agrémente ces points critiques, on complexifie sa structure. On absorbe la vibration et on l’intègre à notre biologie.

 

Le chaotique ramène tout à Soi: sa personne, ses aises et plaisirs, ses intérêts, ses dons et compétences, ses besoins et désirs, etc. Le chaotique campe dans le désir mimétique: la rivalité et la convoitise. Tout se fait dans des affrontements et des alliances.

La néguentropie privilégie au contraire l'équilibre du système, la vie bonne pour tous dans des institutions justes, la paix, la justice, l'abondance, la sécurité et les relations fraternelles. Elle est une recherche orientée: de joie bien sûr dans le libre don, le respect et le soin mutuel. Une recherche qui reste toutefois lucide car nous générons du chaos même en étant bien intentionnés! Nous restons habités par des peurs, des doutes, des frustrations, des ressentiments, des culpabilités, des hontes, etc., qui fonctionnent comme des trous noirs destructeurs de Vie.

 

La néguentropie nous encourage à desserrer l'étreinte de l'égo, du Moi, du mental, en recherchant un meilleur équilibre entre notre quotient émotionnel, relationnel, intellectuel et spirituel, car en réalité nous souffrons de nos attachements excessifs au monde et aux autres, aux regards surtout que nous portons sur tout. Nous créons des rebonds de souffrances et de désespérances; c'est un fait même si nous n'en sommes pas toujours conscients. Pire: nous trouvons normal certains comportements qui sont pourtant maltraitants et malveillants comme les bizutages ou les répliques cinglantes sur les réseaux sociaux.

 

Bien orienter l'ego comme le résume si bien Eckart Tolle :

« je ne suis ni mes pensées, ni mes émotions, ni mes perceptions sensorielles, ni mes expériences. Je ne suis pas le contenu de ma vie. Je suis la vie. Je suis l’espace dans lequel tout se produit. Je suis la conscience. Je suis le Présent. Je Suis. Lorsque vous savez qui vous êtes vraiment, un sentiment de paix durable et vivant s’installe. On pourrait l’appeler la joie, car c’est bien la nature de celle-ci : une paix vivante et vibrante. C’est la joie de reconnaître en soi l’essence de la vie, celle qui précède la forme. C’est la joie d’Être - d’être qui on est vraiment. La vie de la plupart des gens est menée par le désir et la peur. Le désir, c’est le besoin de vous donner quelque chose qui vous permettra d ’être davantage vous-même. Toute peur est celle de perdre, donc de subir une diminution, d’être amoindri. Ces deux mouvements occultent le fait que l’Être ne peut ni s’ajouter ni se soustraire. L’Être dans sa plénitude est déjà en vous, maintenant.»

Passer de l'eslavage des besoins au désir:

G. van der Leeuw, dans son étude de la phénoménologie de la religion, l’atteste : il y a chez l’humain un désir profond de ne pas accepter simplement la vie qui lui est donnée ; il y a donc recherche de puissance – de sécurité, de confort, de gloire, de jouissances multiples - pour avoir une vie plus riche, plus profonde, plus ample dans une quête du tout tantôt accessible tantôt inatteignable ; elle est expérience particulière, éprouvée, vécue mais aussi révélation jamais entièrement expérimentée dans la vie, référence à quelque chose d'étranger ou d’absurde qui traverse – et dépasse - le chemin de notre humanité en venant contester nos raisons de vivre et nos attentes.

Dépasser le schéma désir- rivalité - crise - violence:

Plus généralement, nous devons constater que le dévoilement du désir mimétique effectué par le christianisme vient démystifier les mécanismes d’élection et d’exclusion pratiqués par tous les religions et toutes les sociétés. L’individu est rétabli dans son droit divin. De cette affirmation centrale découle l’individualisme moderne, le scepticisme à l’encontre du pouvoir et ce désir de liberté sans entrave. Pourquoi ? D’abord parce que, comme le note René Girard, « nous vivons dans un monde, je l'ai dit, qui se reproche sa propre violence constamment, systématiquement, rituellement. Nous nous arrangeons pour transposer tous nos conflits, même ceux qui se prêtent le moins à cette transposition, dans le langage des victimes innocentes. » Ensuite parce que la modernité veut faire sans Dieu, sans suivre le Christ, en cherchant un apaisement qu’elle n’arrive pas à trouver, pas plus qu’elle n’arrive à juguler la violence. Enfin parce que nous nous référons à des médiateurs externes, qui nous disent ce qui est hautement souhaitable, désirable, en induisant automatiquement la rivalité qui pousse à se comparer, à s’observer, à se jalouser, etc.

Le schéma désir-rivalité-crise est ainsi réintroduit à l’infini. Nous ne pourrons sortir de ces crises systémiques sans retourner à des forces qui freinent (katecho), et surtout à des médiations intérieures seules à même de garantir un apaisement du désir mimétique. Si elle ne veut pas se condamner à la violence endémique, l’humanité n’a d’autre choix que de s’ouvrir au Christ ou devra, à tout le moins, déconstruire l’emprise du désir mimétique présent partout.

Inutile de souligner que le sacrifice du bouc émissaire, basé sur une méconnaissance grossière, loin de faire disparaître la violence du groupe, ne fait que la "polariser" autrement (on passe du "tous contre tous" au "tous contre un") et reporte à plus tard le risque de l’explosion majeure. Il faudra alors mettre en place des rituels sacrificiels, destinés à rappeler le sacrifice à la mémoire de tous, voire renouveler tôt ou tard mais concrètement un autre sacrifice, tout aussi entaché de méconnaissance. Et ainsi de suite, jusqu’à ce que la mèche soit vendue et que l’on sache enfin que le sacrifice ne supprime pas la violence.

C’est en effet à chacun, individuellement, de gérer sa violence et de se frayer un chemin d’humanisation dans la réconciliation et le pardon. Le phénomène du bouc émissaire (tous contre un) s’applique également dans une dimension collective désignant à la vindicte du plus grand nombre la "culpabilité" d’un groupe humain : juifs, hutus, tutsis, arabes, etc. La durée n’existant pas dans l’inconscient collectif, des violences peuvent naître de façon inopinées plusieurs dizaines ou centaines d’années après, dans un remake sacrificiel difficile à mettre à jour sans cette grille de compréhension.

Pacifier l'humain: 

Il s’agit toujours et encore de la pacification de l’humain, de l’orientation vers le bon (la capacité du bon) des sujets et des communautés historiques, et du sens des règles et des institutions qui protègent la fragilité des communautés et des sujets face à la profondeur du mal. Tout discours devrait tendre indirectement à des modalités éthiques et des projets de liberté, en sachant qu’il y aura toujours fraude dans la totalisation, dans la mise en œuvre concrète du souverain bien, fraude qui va se rencontrer bien sûr dans la science, l’État, l’Église ou tout autre institution, fraude qu’il faudra bien sûr repérer et corriger. Ici, se contenter d’un moindre mal ne suffit pas ! C’est instrumentaliser la fraude !

L'être pour la mort est intiment lié au darwinisme, à la suprématie des plus forts et des plus adaptés qui est un mythe, une idéologie:

Il y a donc bien une ascension à faire, une sortie de l'illusion, une libération individuelle et collective de l'enfermement dans la matérialité à faire de toute urgence: nous avons une double réalité corps-esprit et Conscience cosmique à fusionner, à faire fonctionner ensemble, du moins à demander sans motif caché qu'il en soit ainsi; nous aurons ici le rôle d'un copilote à jouer car notre partenaire demeure indépendante et souveraine. Elle n'est pas nous et nous ne sommes pas elle! Tout est donc appelé à se faire conjointement, en bonne intelligence, en partenariat créatif et responsable, en résonance harmonieuse.