L'Unique est tout ce qui est : lumière et ténèbre, car nous faisons l'expérience de ce que nous percevons, de ce que nous décrétons comme étant bien ou mal ! Nous voyons des conditionnements qu'il faut embrasser pour avancer ! L'amour est notre véritable nature, ce qui reste quand nous sommes guéris de illusions de séparations. Notre réalité est directement et immédiatement liée à ce que nous projetons, nous irradions, ce avec quoi nous sommes le plus en résonance, en affinité, ou ce que d'autres ont projeté sur nous. Il s'agit de voir avec le coeur et la dualité s'en va ; l'émotion agit sur les patterns d'énergie de la matrice, elle est amplifiée quand tout est abordé sans le jugement qui amplifie la peur...en l'absence de peur et de jugement, d'ego ou de dogmes religieux, le magnétisme devient faible et la résonance élevée apportant le sentiment de paix, de centration et d'union.

L’Amour est la clé. La bénédiction est une porte qui s’ouvre sur une autre dimension de la conscience, de la Vie.Tout d’abord, le verbe Bénir signifie « dire du bien, vouloir le bien, voir le bien, penser le bien ou souhaiter le bien. C’est envelopper de lumière une situation ou un individu. Il n’a donc pas l’unique connotation spirituelle connue.

Voici quelques-uns de ses bienfaits : 

— La bénédiction nous enlève tout le stress, tout le poids d’une situation. Nous n’avons plus à penser aux solutions, à chercher comment résoudre une situation à tenter de trouver l’issue ou la solution. C’est comme si nous pouvions délier de l’intérieur toutes situations non harmonieuses pour établir l’harmonie totale et parfaite. 

— La bénédiction génère en nous une grande paix, une force tranquille et une formidable énergie. 

— La bénédiction vient à bout de toutes les résistances, elle anéantit les obstacles qui se dressent sur notre chemin et nous permet de changer le cours des choses dans l’harmonie.

— La bénédiction multiplie les choses positives dans nos vies et nous permet de nous doter d’une plus grande solidité intérieure.

— La bénédiction nous permet d’aider quelqu’un à distance, de pacifier les autres et de voir se produire l’impossible. 

Pour bien interagir avec l'Univers, nous disposons de quelques atouts précieux. Il faut savoir tout d'abord que tout est intriqué.

  • Le principe holographique énonce que chaque point dont est fait le Tout contient l’information du Tout.

Le principe fractal énonce  que l’on retrouve les mêmes expressions des systèmes organisés à toutes les échelles, de l’infiniment petit à l’infiniment grand.

  • " On peut voir l’univers en tant qu’orchestre symphonique, où chaque proton est semblable au support magnétique d’un disque dur holographique enregistrant chaque instant de son existence dans des bits de Planck. Tous les « disques durs » de protons sont alors interconnectés par des trous de ver qui agissent comme des câbles-réseau à transmission instantanée, aboutissant à ce que tous les protons de l’univers soient synchronisés dans un réseau connecté supraconducteur qui se met à jour instantanément à chaque changement. On pourrait imaginer la structure de l’espace-temps autour de chaque proton comme un superbe treillis de sphères, interconnectées par des canaux de transmission allant dans toutes les directions (Source RSF)."

 

  • La masse au repos c’est l’énergie capable de “sortir” du proton et de rentrer en interaction avec tous les autres protons de l’univers.

La masse holographique c’est la quantité d’information disponible dans l’univers à l’échelle d’un proton, d’une étoile, d’une galaxie, etc. La quanttié d’information totale ne change pas mais la densité change à chaque échelle. Le tout est connecté dans un réseau dynamique d’échange d’énergie entre toutes les parties du tout.

Dans le cadre de la physique unifiée, les protons étant des structures d’Unités Sphériques de Plank (USP) en mouvement (rotation) cohérent,

plus ces structures USP-protons sont proches, plus elles tournent vite et leur masse augmente. Plus elles s’éloignent les unes des autres, plus leur vitesse de rotation ralentit et leur masse “s’allègent”. Cela résout le problème de la gravité quantique.

  • Nous savons que l’espace est indissociable du temps et qu‘il constitue l’espace temps.

Nassim Haramein démontre que l’espace temps se courbant dans les trous noirs, celui ci peut communiquer d’un trou noir à un autre par les trous ver et ce quasiment instantanément par intrication, de la même manière que les protons s’intriquent les uns les autres.

Le temps nécessite de la mémoire pour se définir, et l’espace temps constitue aussi une réserve de mémoire .

99% de l’univers servirait à la transmission de l’information et de la mémoire telle qu’on le conçoit dans la physique unifiée.

  •  La vitesse de l'information, de la conscience, de la pensée est instantanée.

    " Imaginez - nous dit Nassim - alors que la vitesse de vibration de la structure de votre cristal biologique au sein de la structure du vide équivaut à de l’information se déversant en vous et en dehors de vous, de la même façon que le cristal de quartz d’un poste de radio s’accorde à une certaine fréquence afin de permettre d’écouter une station radiophonique particulière. Dans le corps, si le cerveau est l’antenne radio, le bouton ou la molette qui sélectionne la fréquence est le cœur. C’est le cœur qui définit la fréquence des informations reçues à travers le rythme de la dynamique des fluides de votre corps, et qui peut être altérée par votre état émotionnel."

La connaissance est à chercher dans le cœur et par lui: c'est notre état émotionnel qui nous permet d'aligner notre antenne avec le champ, l'information; il faut sentir de manière empathique notre connexion avec le tout pour que notre antenne soit correctement dirigée.

Nous ne pouvons pas ne pas communiquer avec le Champ: nous y apparaissons et nous en disparaissons  tout le temps; nous pouvons en revanche mal communiquer! Mal informer et mal recevoir, mal capter les informations en retour. le savoir est précieux car cela nous permet un meilleur ajustement.

C'est par le coeur et son champ magnétique très puissant que s'effectuent les échanges d'information, à travers sa Singularité, là où notre âme est logée. C'est à travers Elle que nous recevons des intuitions, prémonitions, inspirations, heureux hasards, des coïncidences ou des synchronicités, car Elle est cette fameuse loi d'attraction. Elle est aussi ce qui permet les sorties de corps (OBE) , les Expériences de  mort imminente (EMI/NDE).

CF.le cas exceptionnel de Nicolas Fraisse documenté scientifiquement.

L'Univers nous a doté d'un fabuleux cerveau à l'étonnante plasticité. Notre capacité d'apprentissage est facilité par les neurones miroirs tout comme nous est donné l'empathie. Il y a malheureusement aussi l'envers du décors car nous demeurons toutes et tous à des degrés divers vulnérables à nos émotions. Une fragilité qui peut toutefois être compensée par notre cerveau moral et religieux.

L’évolution nous a aussi doté d’un autre outil précieux.

Le cerveau moral

Notre cerveau moral se conjugue en 9 zones cérébrales grâce auxquelles nous avons le sens de la mesure, de la justice, de l’équité, de la collaboration, du partage, du respect de l’autre, de l’empathie, de la compassion ou encore de l’altruisme.

Le consentement à ces capacités se fait tout au long de la vie ; il s’apprend tout particulièrement en famille et en société. Mais il peut aussi être court-circuité. 

D'après les chercheurs de l'Institut Karolinska, l'agressivité serait mise en place par un groupe de cellules cérébrales rarement étudiées, présente dans le noyau pré mamillaire ventral (PMv) de l'hypothalamus. 

L'irritation a besoin d'un marqueur stressant: atteintes à l'orgueil, les trahisons, les peurs, tristesses, colères, frustrations, les ressentiments, angoisses, la honte ou le dégoût qui peuvent être vecteurs de violence qui vont prendre le pas sur le cerveau moral.
Il peut être aussi limitée ou entravée par une recherche de puissance. 
Nous sommes ainsi comme le disait Pascal en regard de la nature ou de l’infini « une moyenne entre rien et tout ». À la fois forts et fragiles, lucides et crédules, etc. Toujours en équilibres précaires en somme, en recherche de sécurités assurément pour ne pas être livrés aux forces du néant et de la mort.
G. van der Leeuw, dans son étude de la phénoménologie de la religion, l’atteste :  il y a chez l’humain un désir profond de ne pas accepter simplement la vie qui lui est donnée ; il y a donc recherche de puissance – de sécurité, de confort, de gloire, de jouissances multiples - pour avoir une vie plus riche, plus profonde, plus ample  dans une quête du tout tantôt accessible tantôt inatteignable ; elle est expérience particulière, éprouvée, vécue mais aussi révélation jamais entièrement expérimentée dans la vie, référence à quelque chose d'étranger ou d’absurde qui traverse – et dépasse - le chemin de notre humanité en venant contester nos raisons de vivre et nos attentes. Vivre réclame donc un Ce-sans-quoi nous serions livrés au néant, à la mort, aux forces du chaos. Nous sommes toujours en ajustements avec la réalité, en recherches d’équilibre et de stabilités, ce qui n’est bien évidemment jamais simple ni gagné d’avance compte tenu notamment des sociétés dans lesquels nous aurons à inscrire notre projet de vie. Toutes n’offrent pas les mêmes possibilités, les mêmes chances, des droits démocratiques indispensables ou une sécurité suffisante.

Notre pouvoir d’adaptation demeure toutefois une réalité à exercer bien évidemment.

Le cerveau religieux

Les recherches en neuroscience d’Andrew Newberg et son équipe ont mis en évidence que toutes les personnifications de Dieu sont des tentatives symboliques de saisir l'insaisissable à travers l'intuition d'une réalité plus vaste, le sentiment plus profond et plus sublime de la réalité que notre esprit peut percevoir en un lieu où tous les conflits sont résolus, la souffrance prend fin, l'unité et le bonheur sont possibles. C'est dire qu'elle contient l'espoir d'un futur heureux qui nous permette de surmonter l'avidité, la méfiance et les peurs auto protectrices. Notre cerveau nous porte naturellement vers un excès égotiste, mais il nous fournit aussi la mécanique avec laquelle il devient possible de transcender l'ego, possible de sortir d'une existence purement matérielle pour aller vers une existence spirituelle, vers un Dieu supérieur, en un lieu absolu d'unicité où tous les désirs sont apaisés. Ainsi, toutes les personnifications de Dieu sont des tentatives symboliques de saisir l'insaisissable à travers l'intuition d'une réalité plus vaste, le sentiment plus profond et plus sublime de la réalité que notre esprit peut percevoir en un lieu où tous les conflits sont résolus, la souffrance prend fin, l'unité et le bonheur sont possibles. C'est dire qu'elle contient l'espoir d'un futur heureux qui nous permette de surmonter l'avidité, la méfiance et les peurs auto protectrices. Notre cerveau nous porte naturellement vers un excès égotiste, mais il nous fournit aussi la mécanique avec laquelle il devient possible de transcender l'ego, possible de sortir d'une existence purement matérielle pour aller vers une existence spirituelle, vers un Dieu supérieur, en un lieu absolu d'unicité où tous les désirs sont apaisés.  C’est ce qu’il convient d’appeler la résonnance herméneutique, différente de la résonnance physique ou biologique. Cette résonnance, en se fiant à l’intuition d’une réalité plus vaste, développe une énergie spirituelle, différente de l’énergie physique ou psychique, mais néanmoins totalement liée aux fabuleuses possibilités du cerveau humain. 

La bande des quatre

Même s’il faut prendre certains résultats scientifiques avec prudence, les résultats de l’équipe d’A. Newberg montrent que l'évolution a privilégié l'émergence d'un cerveau « moral » : nous avons instinctivement des réflexes. Ainsi, nous répugnons naturellement à faire souffrir – sauf quand nous nous sentons menacés ou qu'il faut punir – nous recherchons l'équité, nous sommes capables d'empathie, nous sommes réactifs à la souffrance des autres. Ce sens moral « primitif » serait l'une des origines des religions, l'autre étant la mise en évidence de notre cerveau « religieux » ; ici aussi, l'évolution nous a dotés de capacités spécifiques nées de l'interaction entre au moins quatre acteurs mis en évidence: l'hypothalamus, la plus vieille structure du système limbique – sorte de commandant en chef – qui peut calmer ou exciter le cerveau et produire des émotions comme la fureur, la terreur, le plaisir modéré ou la béatitude. Il peut affecter n'importe quel organe ou partie du corps. Le chien de garde : l'amygdale. C'est elle qui donne à nos émotions leurs nuances subtiles (amour, amitié, affection, défiance); elle est à la recherche de toute information qui représenterait une nécessité d'agir, un signe de danger, ou encore tout ce qui nécessiterait que l'esprit y porte attention. Pour interagir, elle doit toutefois passer par l’hypothalamus. Le diplomate : l'hippocampe. Il fonctionne en lien avec l'amygdale. C'est lui qui relie les sensations, les émotions, à des images, à la mémoire à court et plus long terme, à l'apprentissage. Ces trois structures vont interagir avec une quatrième, le néocortex, et permettre l'émergence d'opérateurs qui nous sont spécifiques. L'opérateur holistique qui nous permet de voir le monde comme un tout, l'opérateur réducteur qui nous permet de nous attacher aux détails. L'opérateur d'abstraction permettant de voir le lien entre deux faits séparés. L'opérateur quantitatif qui nous permet de classer, d'ordonner, d'estimer le temps, les distances, etc. L'opérateur causal qui s'attache au comment et au pourquoi. L'opérateur binaire qui s'attache à l'existence des opposés tout en donnant un sens fondamental aux choses. L'opérateur existentiel qui nous donne la sensation que ce que le cerveau nous fait voir est réel. L'opérateur à valeur émotionnelle qui nous permet de sentir ce qui nous arrive. Sans ce dernier, nous serions comme des robots. C'est lui qui nous donne la sensation de soi.

Mythes et légendes

De ces opérateurs sont nés les mythes et les légendes dont la fonction première est de répondre à des situations menaçantes en donnant du sens au monde et à ce qui nous entoure. Le rituel lui tend à permettre la transcendance de soi et la fusion dans une réalité plus vaste. Sa première fonction est de transformer des histoires ou des représentations, en expériences, en sensations et en actions. La force du rituel réside dans la possibilité de ce dernier de fournir aux croyants une preuve fondée sur leur expérience, leurs sensations qui prouveraient la véracité du mythe à travers l'accès à un état unitaire. Ce dernier est provoqué par les effets sensoriels d'un comportement rythmique répétitif qui va en délimiter l'intensité de bas en haut – du corps vers l'esprit – ou de haut en bas avec le rituel d'une pensée répétitive. La stimulation de l'hypothalamus peut déclencher un état psychologique allant de la sensation légèrement agréable à des sentiments d'extases. De même une activité intense et soutenue de psalmodie ou de prière va stimuler le système de tranquillisation qui, s'il est poussé à des niveaux intenses, va activer directement des effets inhibiteurs de l'hippocampe avec pour résultat final le brouillage de l'aire de l'orientation qui pour finir va estomper le pourtour du sentiment de soi. Tout comportement rythmique ou toute pensée répétitive peut déclencher un état unitaire si la personne veut bien y consentir.

      L’approche neurologique de Newberg et de son équipe montre que les humains ne s’accrochent pas à Dieu parce qu’il leur manque le courage de faire face au monde sans lui. Elle indique au contraire que « Dieu n'est pas le produit d'un processus cognitif et déductif, mais qu'il a été au contraire « découvert» lors d'une rencontre mystique ou spirituelle portée à la connaissance de la conscience humaine par le mécanisme transcendant de l'esprit. Autrement dit, les humains n'inventent pas un Dieu puissant de façon cognitive pour dépendre ensuite de cette invention, pour acquérir le sentiment de contrôle. Au contraire, Dieu, dans la définition la plus large et la plus fondamentale du terme, est d'abord éprouvé dans une spiritualité mystique. Ces expériences unitaires intimes de la présence de Dieu font apparaître alors la possibilité de contrôle (p.196). » Des vérités essentielles vont devoir être traduites de manière rationnelle en croyances spécifiques. Ces dernières devaient apporter des avantages physiques, psychologiques et sociaux pour que les comportements religieux puissent être meilleurs pour la survie.

« Les racines neurobiologiques de la transcendance spirituelle montrent que l'Existence unitaire absolue est une possibilité plausible et même probable. De toutes les surprises que notre théorie a à offrir - que les mythes sont poussés par des compulsions biologiques, que les rituels ont été formés intuitivement pour déclencher des états unitaires, que les mystiques ne sont pas, après tout, nécessairement fous et que toutes les religions sont des branches du même arbre spirituel - le fait que cet état unitaire ultime puisse être soutenu rationnellement nous étonne le plus.

La réalité de l'Existence unitaire absolue n'est pas une preuve définitive qu'un Dieu supérieur existe, mais elle est un solide argument pour l'idée que l'existence humaine est bien plus qu'une existence purement matérielle. Nos esprits sont tirés par l'intuition de cette réalité plus profonde, ce sens absolu d'unicité, où la souffrance disparaît et où tous les désirs sont apaisés. 

Tant que nos cerveaux seront constitués de la façon qu'ils sont, tant que nos esprits seront capables de ressentir cette réalité profonde, la spiritualité continuera de donner forme à l’expérience humaine, et Dieu, quelle que soit la façon dont nous définissons ce concept majestueux et mystérieux, ne disparaîtra pas (p.251-252). »

L’Existence Unitaire a pu être constatée avec précision et rigueur : elle est ce lieu merveilleux d'unicité où les désirs sont apaisés, là où nous avons un rapport harmonieux de soi à soi. Un lieu qui est en même temps un lien corps-esprit, un pont entre le passé, le présent et le futur.